- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
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Viol d'un AS
Lun 11 Mai - 19:35
U.S. Department of Justice
Federal Bureau of Investigation
CRIMINAL INVESTIGATIVE DIVISION
SYNTHÈSE D'ENQUÊTE
Dossier visant:
Lamont Cunningham (( C2OLIO ))
Infractions retenues:
(A) Viol. 40 ans et 15.000$ d'amende. (( 5h de prison ))
(B) Prostitution. 3 mois et 3.500$ d'amende. (( 45min de prison ))
Résumé des faits:
Charge A - Viol
Après des rapports consentis mais trop violents pour elle, l'agent McMillan est seule sur son lit (côté fenêtre) lequel n'a été le lieu d'aucun ébat. Il faut préciser qu'elle s'est délibérément mise à l'écart des deux autres partenaires suite à la violente irrumation qu'elle a subit en l'espèce en changeant de pièce et en se réfugiant dans son lit.
Alors qu'elle ne manifestait aucun signe de désir et qu'elle apparaissait surtout "très fatiguée" selon les dires de la témoin (la prostituée), elle a décidé avec son client d'aller "embêter" la victime. En l'espèce ils se sont alors mis sur elle, la prostituée a maintenue l'agent tandis que l'accusé la pénétrait violemment par les voies anales et vaginales.
Alors que, selon la prostituée "elle avait l'air de pas vouloir" et que "au début elle disait arrêtez", elle et son client continuent pendant "entre 3 et 5 minutes" malgré la résistance de la victime qui a été jusqu'à pleurer "deux minutes" pendant le rapport.
Le rapport ne cessera que lorsque l'agent McMillan menacera d'appeler la police. L'accusé quittera alors la chambre immédiatement, payant la prostituée dans le couloir, sans même s'adresser à sa victime, ni s'excuser ou chercher à prendre conscience de son état.
Il faut préciser qu'aucun accord pour une quelconque séance de jeu impliquant de la Domination ou une simulation de viol n'a jamais été passé préalablement à cette relation. L'agent McMillan ne connaissait d'ailleurs pas l'accusé.
Charge B - Prostitution
Le mis en cause a sollicité de Madame Phoebe Matizalis une prestation sexuelle tarifée, a consommé ladite relation et l'a ensuite rémunéré à hauteur du tarif convenu de $ 4.000.
Investigations et preuves:
Charge A - Viol
La vicitme identifie Monsieur Cunningham comme étant l'auteur des faits, identifiant formellement son prénom et sa profession.
Le témoin identifie Monsieur Lamont Cunningham, révélant son nom, son prénom, son numéro de téléphone, son ShareSpace et sa profession.
Le sperme retrouvé dans la chambre et sur la victime a fait l'objet d'une analyse ADN révélant qu'il est celui de l'accusé.
Les examens génitaux révèlent des traces de pénétration violentes anales et vaginales attestant de la véracité des dires de la victime.
L'examen clinique du mis en cause révèle des traces de griffure sur son corps.
L'analyse de la literie révèle que le lit côté couloir est imbibé de traces de sperme et de cyprine (lit sur lequel la victime dit avoir eu un rapport sexuel consenti). La même analyse révèle que le lit côté fenêtre (sur lequel a eu lieu le rapport sexuel en cause) n'a pas été imbibé de cyprine mais est en revanche marqué par d'importantes traces de sécrétions lacrymales.
Charge B - Prostitution
Aveux du mis en cause (qui s'est rétracté en apprenant que c'était illégal).
Enregistrements de conversations ShareSpace dans lequel le mis en cause sollicite les services de la prostituée.
Témoignage de la prostituée.
Notes éventuelles:
Suspect remis à la Justice.
Federal Bureau of Investigation
CRIMINAL INVESTIGATIVE DIVISION
SYNTHÈSE D'ENQUÊTE
Viol d'un AS
Ouvert le 11/05/2020
Ouvert le 11/05/2020
Dossier visant:
Lamont Cunningham (( C2OLIO ))
Infractions retenues:
(A) Viol. 40 ans et 15.000$ d'amende. (( 5h de prison ))
(B) Prostitution. 3 mois et 3.500$ d'amende. (( 45min de prison ))
Résumé des faits:
Charge A - Viol
Après des rapports consentis mais trop violents pour elle, l'agent McMillan est seule sur son lit (côté fenêtre) lequel n'a été le lieu d'aucun ébat. Il faut préciser qu'elle s'est délibérément mise à l'écart des deux autres partenaires suite à la violente irrumation qu'elle a subit en l'espèce en changeant de pièce et en se réfugiant dans son lit.
Alors qu'elle ne manifestait aucun signe de désir et qu'elle apparaissait surtout "très fatiguée" selon les dires de la témoin (la prostituée), elle a décidé avec son client d'aller "embêter" la victime. En l'espèce ils se sont alors mis sur elle, la prostituée a maintenue l'agent tandis que l'accusé la pénétrait violemment par les voies anales et vaginales.
Alors que, selon la prostituée "elle avait l'air de pas vouloir" et que "au début elle disait arrêtez", elle et son client continuent pendant "entre 3 et 5 minutes" malgré la résistance de la victime qui a été jusqu'à pleurer "deux minutes" pendant le rapport.
Le rapport ne cessera que lorsque l'agent McMillan menacera d'appeler la police. L'accusé quittera alors la chambre immédiatement, payant la prostituée dans le couloir, sans même s'adresser à sa victime, ni s'excuser ou chercher à prendre conscience de son état.
Il faut préciser qu'aucun accord pour une quelconque séance de jeu impliquant de la Domination ou une simulation de viol n'a jamais été passé préalablement à cette relation. L'agent McMillan ne connaissait d'ailleurs pas l'accusé.
Charge B - Prostitution
Le mis en cause a sollicité de Madame Phoebe Matizalis une prestation sexuelle tarifée, a consommé ladite relation et l'a ensuite rémunéré à hauteur du tarif convenu de $ 4.000.
Investigations et preuves:
Charge A - Viol
La vicitme identifie Monsieur Cunningham comme étant l'auteur des faits, identifiant formellement son prénom et sa profession.
Le témoin identifie Monsieur Lamont Cunningham, révélant son nom, son prénom, son numéro de téléphone, son ShareSpace et sa profession.
Le sperme retrouvé dans la chambre et sur la victime a fait l'objet d'une analyse ADN révélant qu'il est celui de l'accusé.
Les examens génitaux révèlent des traces de pénétration violentes anales et vaginales attestant de la véracité des dires de la victime.
L'examen clinique du mis en cause révèle des traces de griffure sur son corps.
L'analyse de la literie révèle que le lit côté couloir est imbibé de traces de sperme et de cyprine (lit sur lequel la victime dit avoir eu un rapport sexuel consenti). La même analyse révèle que le lit côté fenêtre (sur lequel a eu lieu le rapport sexuel en cause) n'a pas été imbibé de cyprine mais est en revanche marqué par d'importantes traces de sécrétions lacrymales.
Charge B - Prostitution
Aveux du mis en cause (qui s'est rétracté en apprenant que c'était illégal).
Enregistrements de conversations ShareSpace dans lequel le mis en cause sollicite les services de la prostituée.
Témoignage de la prostituée.
Notes éventuelles:
Suspect remis à la Justice.
- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
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Re: Viol d'un AS
Lun 11 Mai - 19:48
SAN ANDREAS FBI FIELD OFFICE
Saisine
Nous, soussigné,
Kalvin Cole Phelps
Agent spécial en charge
San Andreas field office
Bureau fédéral d'investigation
Département de la Justice
Appel | Sommes appelés de nuit par l'agent McMillan, laquelle nous confie (en larmes et en sanglots) avoir été violée par un agent du LSPD. |
Arrivée sur site | Sur place, constatons qu'une jeune femme nue est dans l'appartement de l'agent. Constatons également la présence de l'agent McMillan, nue également, prostrée et en sanglots sur son lit, salie de diverses substances qui nous semblent être du vomi et du sperme. Précisons que l'agent nous semble manifestement en larmes depuis un long moment au regard de son apparence et de son état général ainsi que de celui de ses draps. |
Témoignage | L'agent McMillan nous confie l'identité de son agresseur: un agent du LSPD prénommé Lamont. |
Hospitalisation | Faisons prendre en charge, en urgence, l'agent McMillan aux urgences de l’hôpital de tous les Saints de Los Santos et ordonnons son placement sous protection exclusive du FBI POLICE, en chambre individuelle. Précisons aux agents du FBI POLICE que les officiers de polices locales ne seront pas autorisés, quelque soit le motif ou leur grade, à pénétrer la chambre de l'agent McMillan. Demandons enfin un examin gynécologique et clinque complet de l'agent. |
ERT | Ordonnons à notre ERT de procéder à la collecte complète des traces et indices présents dans l'appartement de l'agent McMillan. Précisons que l'ensemble des opérations devra s'effectuer sous le contrôle et la supervision stricte et respectueuse de l'intimité de la victime, du lieutenant de permanence de notre FBI POLICE. |
- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
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Re: Viol d'un AS
Lun 11 Mai - 20:01
SAN ANDREAS FBI FIELD OFFICE
Examen de la victime
Nous, soussigné,
Kalvin Cole Phelps
Agent spécial en charge
San Andreas field office
Bureau fédéral d'investigation
Département de la Justice
Examen clinique | Les médecins nous informent que l'examen clinique a permis de constater des traces de lutte au niveau des mains de l'agent Mc Millan. Absence d'autres traces de violences. A été recueilli sur elle du sperme, envoyé pour exploitation ADN à notre BTS. |
Examen gynécologique | L'examen gynécologique révèle des pénétrations anales et vaginales violentes, s'accompagnant donc de lésions et hématomes internes. |
Exploitation ADN | Recevons réponse de notre BTS, laquelle nous informe ne pas avoir trouvé d'identification via le fichier des casiers judiciaires. |
- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
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Re: Viol d'un AS
Lun 11 Mai - 20:12
SAN ANDREAS FBI FIELD OFFICE
AUDITION DE TÉMOIN
Nous, soussigné,
Kalvin Cole Phelps
Agent spécial en charge
San Andreas field office
Bureau fédéral d'investigation
Département de la Justice
Témoin | Ce 11 mai 2020, Sur les lieux des faits pour reconstitution, Entendons, Madame Phoebe Mitzalis, Domiciliée au King Paradize Hotel, Los Santos (SA), Né le 19/10/1998, à San Francisco (CA) Joignable au 676-6736, Libre de toute contrainte, |
Enregistrement | Enregistrons, en son et en image, l'ensemble de l'audition dès son début, incluant la notification des droits. Avisons le témoin de cet enregistrement. |
Notification des droits | Vu l'article 7 de la déclaration constitutionnelle des droits de l’État de San Andreas, Informons le témoin, préalablement à toute question, qu'il dispose du droit de ne pas témoigner contre lui-même et que ce qu'il déclarera pourra être retenu contre lui. Lui rappelons qu'il est libre de mettre fin à l'audition et de quitter les lieux à tout instant. |
Identité du mis en cause | L'intéressée nous livre l'identité du mis en cause, qu'elle dit être officier de police et s'appeler Lamont Cunningham. |
Récit général des faits | L'intéressée nous décrit les faits dont nous proposons la synthèse qui suit : Madame Phoebe Mitzalis (« le témoin », « l'intéressée », « la prostituée », « BlackRose ») aurait eu rendez-vous avec Monsieur Lamont Cunningham (« le client », « le mis en cause », « le suspect », « l'officier ») et l'aurait rencontré devant la porte de la chambre au premier étage de l'hotel King Paradise. Là ils auraient fait la rencontre fortuite de Madame Kimberly McMillan (« la victime », « l'agent ») dans ce couloir. Si ils n'auraient pas indiqué à l'agent la nature exacte de leur relation, tous deux se seraient comportés de manière intime laissant évidemment penser à une proximité charnelle. Le témoin précise toutefois que l'agent ignorait qu'elle se prostituait. L'agent les aurait alors invité à son domicile où ils seraient entrés. La prostituée et son client auraient alors été très rapidement très proches l'un de l'autre, allant jusqu'à avoir un rapport sexuel, tandis que l'agent elle demeurait seule, délibérément à l'écart, sur son lit. Le mis en cause aurait alors adressé à la victime ces mots : « Viens, fais pas ta timide! ». L'agent les aurait alors rejoint et aurait eu un rapport sexuel avec eux deux. En fin de rapport, Monsieur Cunningham aurait éjaculé sur les jeunes femmes. Dans la foulée l'agent serait aller se laver du sperme du suspect, accompagnant Madame Phoebe Mitzalis. Le groupe aurait été dans le jaccuzzi avant que la prostituée et son client n'ait une nouvelle relation sexuelle en dehors de ce dernier mais dans la salle de bain. Là, le mis en cause aurait enjoint à la victime de venir lui prodiguer une fellation en ces termes : « Viens ! Suces ! », rejointe par la témoin qui aurait également ordonnée « Au pied ». La victime se serait alors agenouillée devant le suspect qui aurait pratiqué sur elle non pas une fellation mais une irrumation, plus précisément « il lui maintenait le visage et lui a fait un face-fuck violent ». Cette irrumation a eu pour résultat de conduire la victime d'abord à avoir « des réflexes quand ça étouffe avec les gorges profondes » puis à vomir. La victime, après avoir vomi, aurait alors rejoint son lit tandis que la prostituée et son client avait à nouveau un rapport sexuel dans la salle de bain. Ces derniers ont alors rejoint le lit qu'ils occupaient initialement, laissant la victime dans son lit. Le mis en cause (et la prostituée) sont alors aller « embêter » la victime, alors qu'elle était « visiblement fatiguée » et qu' « elle disait rien ». Plus précisément ils sont venus dans son lit en vue d'avoir avec la victime un rapport sexuel. La prostituée suggéra au suspect de pénétrer la victime alors que « elle avait l'air de pas vouloir ». Pendant cette pénétration, la prostituée « maintenait » la victime tandis que « il avait des doigts dans son cul et sa bite en elle ». Le rapport se maintenant malgré sa résistance, la victime aurait fini par hurler au viol, signalant qu'elle allait appeler la police. Le rapport aurait duré « entre 3 et 5 minutes » entre le moment des premiers signes explicites de refus (larmes et cris) et la fin de la pénétration. Une fois le rapport ainsi terminé, le client serait alors immédiatement parti, laissant la victime seule avec la victime. |
Prostitution | La mise en cause confirme que Monsieur Lamont Cunningham est son client et qu'elle devait pour lui se prostituer, pour la somme de $ 4,000. Elle indique que c'est lui qui l'a contacté par la plate forme ShareSpace dans ce but et qu'elle n'a pas eu à le démarcher pour ce faire. |
Viol | En apparté, le témoin déclare n'avoir compris qu'il s'agissait d'un viol que trop tard et, pour preuve de sa sincérité et de son absence de malice, qu'elle est restée aux côtés de la victime (contrairement au mis en cause). |
Immunité | Pour obtenir la coopération du témoin et l'obtention de son témoignage sincère, le Ministère Public a proposé à la prostituée une immunité relative aux faits qu'elle évoquait, condition indispensable à sa coopération et donc à la neutralisation du plus dangereux des agresseurs (de par son rôle d'auteur principal et sa fonction d'officier de police). |
Retranscription | Joignons l'enregistrement audio et vidéo de l'audition sur les lieux des faits à la présente procédure. L'enregistrement est joint. (( https://pastebin.com/cPKMW0kH )) |
- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
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Re: Viol d'un AS
Lun 11 Mai - 20:15
SAN ANDREAS FBI FIELD OFFICE
Recherche d'identification
Nous, soussigné,
Kalvin Cole Phelps
Agent spécial en charge
San Andreas field office
Bureau fédéral d'investigation
Département de la Justice
Audition par psychologue | Mandons à notre psychologue du Bureau de prendre en charge l'agent spécial McMillan afin d'obtenir d'elle une description, même vague, de l'intéressé, qu'elle a semble t'il rencontré avant toute chose. Joignons son témoignage, approximatif, à la présente procédure. Un témoignage vague d'une personne qui pourrait raisonnablement être Lamont Cunningham est joint, obtenu suite à une audition de la victime à All Saints par une psychologue. (( Kimberly a vu Lamont de près, notamment en pleine lumière dans le couloir, puis beaucoup plus longtemps mais dans la pénombre. Comme il n'y a pas de description de visage sur SAMP, on doit se contenter de ce /do. On n'a pas fait de vrai audition tout simplement pour ne pas mal jouer une audition par psychologue: nous n'avons pas les compétences pour une vraie audition par psychologue post viol et envoyons donc un spéicaliste le faire dans les 24h suivant les faits. )) |
Vidéos | Constultons les caméras de sécurité de la ville et extrayons les images du suspect devant le King Paradize. Constatons que sa description est semblable à celle faite par l'agent McMillan et que l'horaire de départ correspond à l'horaire de lancement d'alerte par l'agent Mc Millan à l'agent Phelps. L'extrait vidéo est joint, on y voit Lamont Cunningham sortir à ladite heure de l'hotel. |
SAN ANDREAS FBI FIELD OFFICE
Identification
Nous, soussigné,
Kalvin Cole Phelps
Agent spécial en charge
San Andreas field office
Bureau fédéral d'investigation
Département de la Justice
Lamont Cunningham | Sur la base du prénom donné par l'agent McMillan, recherchons les officiers du LSPD n'étant pas en position de vacance ni en position opérationnelle au moment des faits. Réduisons ainsi notre liste de suspects et consultons les photographies des agents en vue de les comparer aux images de vidéo protection et à la description faite par la victime. Identifions Lamont Cunningham comme seul suspect crédible, de par son prénom, sa fonction et sa description. |
- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
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Re: Viol d'un AS
Lun 11 Mai - 20:21
CONFIDENTIEL - DÉPARTEMENT DE LA JUSTICE - BUREAU FÉDÉRAL D'INVESTIGATION - SAN ANDREAS FIELD OFFICE - CONFIDENTIEL
ENQUÊTE c. LAMONT CUNNINGHAM
-
Demande de mandat
ENQUÊTE c. LAMONT CUNNINGHAM
-
Demande de mandat
Kalvin Cole Phelps
Agent spécial en charge
Division des droits civiques
Antenne de Los Santos, San Andreas
Bureau fédéral d'investigation
Département de la Justice
Agent spécial en charge
Division des droits civiques
Antenne de Los Santos, San Andreas
Bureau fédéral d'investigation
Département de la Justice
Mesdames et Messieurs les honorables juges
Cour supérieure de l'Etat de San Andreas
1284 Main St.
Los Santos, San Andreas
Cour supérieure de l'Etat de San Andreas
1284 Main St.
Los Santos, San Andreas
Votre Honneur,
Mes respects,
Dans le cadre de l'enquête jointe,
Vu les dispositions de l'article 23 du code de procédure pénale,
Considérant les éléments à notre disposition,
Ayant avisé le ministère public de la présente demande,
Le FBI a l'honneur de requérir de votre Cour qu'elle délivre:
❯Contre LAMONT CUNNINGHAM :
Un mandat d'arrêt à fin d'investigation,
En effet, Monsieur Cunningham est identifié par son prénom, sa description et sa fonction d'officier du LSPD. Il peut donc être raisonnablement soupconné d'avoir commis cette infraction.
Il apparait dès lors nécessaire d'effectuer sur lui un prélèvement ADN à fin de comparaison et de détermination objective de son innocence ou de sa culpabilité.
Un mandat d'injonction à fin d'obtenir de son opérateur téléphonique ses factures détaillées avec bornage au moment des faits,
En effet, Monsieur Cunningham est identifié par son prénom, sa description et sa fonction d'officier du LSPD.
Il apparait dès lors nécessaire d'effectuer une analyse par bornage afin de déterminer si le suspect pouvait ou non être présent sur les lieux des faits au moment où ils auraient été commis.
Un mandat de perquisition du domicile de l'intéressé à fin d'arrestation,
En effet, cette mesure apparait strictement nécessaire à l'arrestation du suspect commandées par les nécessités de la procédure.
Un mandat de géolocalisation à fin d'arrestation,
En effet, cette mesure apparait strictement nécessaire à l'arrestation du suspect commandées par les nécessités de la procédure.
Notre Bureau se tient, votre Honneur, à votre entière disposition,
En vous remerciant par avance du temps accordé à notre demande et ce quelque puisse être votre réponse,
Très respectueusement,
CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL
La procédure est jointe à la Cour ainsi qu'à la direction à fin de notification au ministère public.
- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
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Re: Viol d'un AS
Lun 11 Mai - 20:58
CONFIDENTIEL - DÉPARTEMENT DE LA JUSTICE - BUREAU FÉDÉRAL D'INVESTIGATION - SAN ANDREAS FIELD OFFICE - CONFIDENTIEL
ENQUÊTE c. LAMONT CUNNINGHAM
-
EXPLOITATION LITERIE
ENQUÊTE c. LAMONT CUNNINGHAM
-
EXPLOITATION LITERIE
La branche scientifique et technique du FBI,
A procédé à l'analyse des éléments de literie de la chambre de l'agent McMillan et y a notamment découvert :
- Des traces de régurgitation gastrique humaine appartenant (selon ses dires) l'agent McMillan, signe d'une pénétration orale violente et intense (traces également relevées au sol) ;
- D'importantes quantités de sécrétions lacrymales imbibant les draps du lit côté fenêtre, laissant raisonnablement déduire d'une très importante et très durable sécrétion lacrymale de la victime mais pas de traces notables de sécrétions sexuelles (masculines comme féminines) ;
- Des traces de spermes et de secrétions sexuelles masculines et féminines sur le lit côté couloir exclusivement.
CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL
- Ian Olague
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Re: Viol d'un AS
Lun 11 Mai - 21:21
La Cour confirme l'émission d'un mandat d'arrêt à l'encontre de Lamont Cunningham, aux fins d'investigations, ce mandat est applicable à partir de sa réception.
- Un mandat d'injonction à l'opérateur téléphonique du concerné, en personne de Lamont Cunningham, pour consulter les registres d'appels et de messages ; le registre doit être cependant visualisé dans un temps légal entre l'acte et la fin de celui-ci.
- Un mandat de perquisition ainsi que d'arrestation pour appréhender ladite personne.
Daniel Hodgson, Cour Supérieure de SAN ANDREAS.
- Un mandat d'injonction à l'opérateur téléphonique du concerné, en personne de Lamont Cunningham, pour consulter les registres d'appels et de messages ; le registre doit être cependant visualisé dans un temps légal entre l'acte et la fin de celui-ci.
- Un mandat de perquisition ainsi que d'arrestation pour appréhender ladite personne.
Daniel Hodgson, Cour Supérieure de SAN ANDREAS.
- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
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Re: Viol d'un AS
Mer 13 Mai - 12:30
SAN ANDREAS FBI FIELD OFFICE
Arrestation
Nous, soussigné,
Kalvin Cole Phelps
Agent spécial en charge
San Andreas field office
Bureau fédéral d'investigation
Département de la Justice
Arrestation | Procédons, en les locaux du LSPD mais hors la présence d'un public significatif, à l'arrestation de Lamont Cunningham. Lui notifions que nous agissons en exécution d'un mandat et obtenons de lui sa reddition. |
Droits | Informons l'intéressé de ses droits (notamment en matière de conseil et de silence) et lui indiquons que nous agissons en exécution d'un mandat que nous exhibons, dans le cadre d'une procédure de viol. |
Avocat | Sommes informé par le mis en cause qu'il réclame la venue de son avocat, Maître Orren Bell. Contactons Maître Bell qui se déplace à nos locaux et assiste à l'audition de son client après avoir pu s’entretenir librement avec lu ide manière confidentielle. |
Téléphone | Sommes informé par nos agents que Maître Bell et son collègue auraient profité de l'entrevue pour manipuler le téléphone personnel du mis en cause en lui otant de la poche. Faisons saisir ledit téléphone et procéder à une recherche d'altération, délétion ou ajout de fichiers récents, laquelle est négative. Informons les avocats que le barreau sera informé de ce fait. Ne les interpellons pas. |
- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
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Re: Viol d'un AS
Mer 13 Mai - 12:39
CONFIDENTIEL - DÉPARTEMENT DE LA JUSTICE - BUREAU FÉDÉRAL D'INVESTIGATION - SAN ANDREAS FIELD OFFICE - CONFIDENTIEL
ENQUÊTE c. LAMONT CUNNINGHAM
-
ANALYSE DU TELEPHONE
ENQUÊTE c. LAMONT CUNNINGHAM
-
ANALYSE DU TELEPHONE
La branche scientifique & technique du FBI a procédé à l'analyse du téléphone saisi sur le suspect.
Copie des échanges ShareSpace entre le mis en cause et « BlackRose » (le témoin) a été faite. Les joignons à la procédure.
Analyse de l'activité récente du téléphone a été faite, constatons qu'aucune délétion, ajout ou modification ne semble avoir eu lieu. La seule activité récente (vraisemblablement celle des avocats) étant l'envoi des copies de ces échanges à Maître Roy Burgess, par mail.
CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL
- Conversation complète entre la prostituée et son client:
- Lamont Cunningham
Lamont Cunningham
Salut bébé.
Dis voir, on m'a dit que tu faisais des choses...
???
BlackRose
Salut toi...
Oui, c'est vrai...
Lamont Cunningham
T’es dispo ce soir?
BlackRose
Pas ce soir, j'suis occupée déjà !
Lamont Cunningham
Ce soir t’es dispo ?
BlackRose
Ma prochaine date de libre, c'est lundi (:
Lamont Cunningham
Tu prend combien?
BlackRose
Je suis à 4,000$ la soirée !
Lamont Cunningham
Carré
Lamont Cunningham
T'es dispo ma belle?
BlackRose
J'suis dispo maintenant là si tu veux
Lundi soir j'suis occupée sinon
Lamont Cunningham
Jarrive
BlackRose
On se rejoint où ?
Enfin, tu peux venir me chercher ?
Lamont Cunningham
608-9300
BlackRose
J'ai pas ma caisse
Lamont Cunningham
Tu veux ou?
BlackRose
Pershing Square, l'hôtel là
Lamont Cunningham
Tas une chambre d’hotel ?
BlackRose
Oui.
Sinon tu viens dans ma chambre si tu veux.
Lamont Cunningham
Tu prends combien ducoup
BlackRose
4,000$
Lamont Cunningham
Oui j’vais venir ds ta chambre
BlackRose
Ok, une seconde, j'te dis, c'est quoi le numéro de la chambre
Lamont Cunningham
T’es prete a m’sucer la bite j’espere
BlackRose
Carrément
J'vais pas que sucer ta queue pour c'prix là !
Lamont Cunningham
Ah oui ? Dis moo en plus
BlackRose
J'préfère que tu le découvres en direct!
Lamont Cunningham
Ouhhh j’adore
BlackRose
C'est la chambre C3 au premier étage, bébé
Lamont Cunningham
J’suis a
BlackRose
T'es où ?
BlackRose
Elle casse la tête, elle a carrément appelé son collègue
Lamont Cunningham
De quoi? Elle a dit quoi?
BlackRose
Bah elle dit que tu l'as violé tout ça
Son pote est du FBI askip en +
Lamont Cunningham
j'ai rien violer
BlackRose
Oui justement
- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
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Re: Viol d'un AS
Mer 13 Mai - 22:33
SAN ANDREAS FBI FIELD OFFICE
AUDITION DE MIS EN CAUSE
Nous, soussigné,
Kalvin Cole Phelps
Agent spécial en charge
San Andreas field office
Bureau fédéral d'investigation
Département de la Justice
Identité | Ce 12 mai 2020, En nos locaux de Los Santos, San Andreas, Entendons, Monsieur Lamont Cunningham, Domicilié au 1871 Metropolitan Ave., Los Santos (SA), Né le 12 mai 1990, à Los Santos (SA), Joignable au 608-9300, Actuellement en état d'arrestation, |
Enregistrement | Enregistrons, en son et en image, l'ensemble de l'audition dès son début, incluant la notification des droits. Avisons le mis en cause de cet enregistrement. |
Notification des droits | Vu l'article 7 de la déclaration constitutionnelle des droits de l’État de San Andreas et l'article 40. du code de procédure pénale de l’État de San Andreas. Rappelons au mis en cause, préalablement à toute question, qu'il dispose du droit de garder le silence et que ce qu'il dira pourra être retenu contre lui ; qu'il dispose du droit à être assisté d'un avocat qui, en cas d'indigence, peut lui être commis d'office. Informons le mis en cause qu'il est en droit de connaître l'une des infractions au moins dont il est tenu suspect Constatons que le mis en cause semble manifestement avoir compris l'ensemble des droits dont nous l'avons informé. |
Parjure | Rappelons à l'intéressé qu'il a le droit de garder le silence et que ses déclarations enregistrées font l'objet d'une retranscription automatique, qu'elles constituent ainsi un témoignage écrit à destination de la Cour. Rappelons ce fait à l'intéressé ainsi que les dispositions légales relatives au parjure. |
Synthèse | En substance, constatons que la version du mis en cause est peu ou proue similaire à celle du témoin, à quelques détails près. D'abord sur le plan factuel, il omet ou minimise certains détails pourtant révélateurs de la nature criminelle du rapport sexuel en jeu (comme par exemple le fait que sa victime était immobilisée physiquement, qu'elle était entravée). Ensuite sur le plan de l'interprétation il justifie chacune des résistances de la victime comme soit n'étant pas significatives, soit révélant qu'elle appréciait cela (expliquant notamment que les femmes pleurent lorsqu'il leur donne un plaisir intense). Il a dans un premier temps reconnu avoir eu recours aux services d'une prostituée, affirmant que c'était légal. Lorsqu'il a été informé du fait que c'était illégal, il a immédiatement tout nié et a dit aux enquêteurs qu'ils ne pourraient jamais le prouver. Les enquêteurs lui ont alors rappelé qu'il témoignait sous serment. Il n'éprouve aucun remord et se dit victime d'un complot organisé par le LSPD et le FBI. Ses propos sont souvent erratiques et se concentrent autour de l'apologie de ses performances sexuelles et du plaisir qu'il donne aux femmes. |
Transcription | Joignons l'enregistrement à cette procédure. |
- Audition:
- DEBUT D’ENREGISTREMENT 12/05/2020 22 :46 – BUREAU DE L’AGENT SPÉCIAL EN CHARGE KALVIN PHELPS
Kalvin Phelps dit : Monsieur Cunningham, je vous informe que, comme vous en avez déjà été notifié. Vous êtes placé en état d'arrestation suite à la délivrance d'un mandat d'arrêt à votre endroit sous le chef de viol.
Katherine Eisenhower dit : Viol ?
Kalvin Phelps dit : Vous avez le droit de garder le silence, entendu que ce que vous direz pourra être retenu contre vous devant la Cour.
Lamont Cunningham dit : J'attends vos preuves. C'est un de vos agents, donc amenez là.
Kalvin Phelps dit : Et vous avez le droit à un avocat, lequel pourra vous être commis d'office gratuitement en cas d'indigence.
Lamont Cunningham dit : J'ai compris.
Kalvin Phelps dit : Pour le motif de votre arrestation, dont vous avez le droit d'être informé : c'est déjà fait. Enfin et pour conclure mon petit monologue : sachez que cet entretien va être enregistré.
Lamont Cunningham dit : Agent Phelps, voyez-vous, je n’ai pas que ça à faire d'être aux arrêts pour quelque chose que je n'ai pas commis.
Kalvin Phelps dit : Il l'est d'ailleurs d'ores et déjà.
Lamont Cunningham dit : Bien entendu.
Kalvin Phelps dit : Il sera retranscrit automatiquement par écrit et constituera un témoignage écrit à destination de la Cour. Tout mensonge, même par omission malicieuse, serait constitutive d'un parjure, délit puni de sept années d'emprisonnement.
Lamont Cunningham dit : Entendu.
Kalvin Phelps dit : Ces précisions étant faites, nous allons attaquer le cœur du dossier. Madame la Chef, souhaitez-vous que je procède normalement ou désirez-vous que je vous informe préalablement de l'état du dossier ?
Katherine Eisenhower dit : Je souhaite avoir des informations sur le dossier en question oui.
Kalvin Phelps dit : Très bien ... Avant qu'on s'y mette. Café ?
Katherine Eisenhower dit : Non.
Kalvin Phelps dit : Lieutenant ? *vers Kris*(…) Je présume que non.
Lamont Cunningham dit : Au faites.
Kalvin Phelps dit : Ceci étant dit ... *ouvre un tiroir*
Lamont Cunningham dit : Je demande mon avocat, Maitre Orren Bell.
Kalvin Phelps dit : C'est une copie à destination de vos services, vous pouvez la conserver. Monsieur Cunningham j'entends que vous invoquez votre droit à avocat. Nous en serons infiniment respectueux. Connaissez-vous le numéro de Maître Bell ?
Lamont Cunningham dit : Oui, pour sûr.
Kalvin Phelps dit : Alors dites-moi.
Lamont Cunningham dit : Non, je ne m'en souviens plus. Mais vous pouvez le contacter, il a un site internet.
Kalvin Phelps dit : Pas grave *cliquant quelques fois*
Lamont Cunningham dit : Haha.
Katherine Eisenhower dit : Vous m'excusez.
Kalvin Phelps dit : Mais certainement Madame. (…) Deux pièces de procédure n'y sont pas encore (…) Et bien.
Lamont Cunningham dit : C'est dur d'en arriver là. M'arrêter dans les locaux du département de police, pour un soi-disant viol.
Kalvin Phelps dit : J'ai un agent hospitalisé ... L'épreuve l'est pour tout le monde. Et la politique du Bureau est de pratiquer la tolérance zéro.
Lamont Cunningham dit : Oui oui, je veux bien le comprendre, mais vous savez on subit tous des traumatismes. Pourtant, personne n'est avantagé chez nous. Faire une descente dans les locaux du département de police, c'est osé.
Inconnu_91425 dit : Monsieur Phelps, les deux avocats.
Kalvin Phelps dit : Maîtres ! Je vous en prie.
Orren Bell dit : Mesdames, messieurs. Officier Cunningham.
Roy Burgess dit : Bonsoir bonsoir.
Kristina Ingram dit : Bonsoir.
Kalvin Phelps dit : Je vous en prie, prenez place.
Lamont Cunningham dit : Maitre Bell, Maitre Burgess. Bonsoir.
Kalvin Phelps dit : Désirez-vous quelques minutes avec votre client pour l'entretenir ?
Lamont Cunningham dit : J'aurais préféré qu'on se revoit dans d'autre conditions... Oui.
Roy Burgess dit : Ce serait bien.
Orren Bell dit : Il a répondu pour nous.
Roy Burgess dit : Les entraves sont-elles vraiment nécessaires ? Je pense qu'il ne nous étranglera pas.
Lamont Cunningham dit : J'en doute fort.
Orren Bell dit : C'est un brave officier. Ce traitement humiliant est superflu.
Kalvin Phelps dit : Pouvez-vous amener Monsieur Cunningham en SDI où il pourra s'entretenir en privé avec ses conseils ?
Lamont Cunningham dit : M'arrêter dans les locaux aussi. Devant tout le monde. Quelle honte.
Roy Burgess dit : Moi qui pensais que nous pourrions utiliser votre bureau...
Dolores Ingram dit : Oui, bien sûr.
Dimitar Bogdanov dit : Je m'en occupe. Messieurs, suivez-moi.(Discussion entre Monsieur Phelps et le Lieutenant Ingram pour énumérer les faits présents dans le dossier pendant l’entretien privé entre Lamont Cunningham et ses avocats)
Kalvin Phelps dit : Bonsoir Inspecteur.
Lamont Cunningham dit : Le chef n'est plus là ?
Edwards Stevens dit : Bonsoir Agent Phelps. Je suis là au nom du Bureau du Chef.
Kalvin Phelps dit : Je vous en prie.
Dolores Ingram dit : Je reviens.
Lamont Cunningham dit : J'aurais aimé qu'il soit là. Mais ça me va, Inspecteur Stevens.
Edwards Stevens dit : Vous n'êtes pas réellement en position de demander quoi que ce soit, je pense.
Kalvin Phelps dit : J'ai fourni le dossier presque complet, il manque deux pièces, à la Chef de votre Département.
Roy Burgess dit : On se gardera de vos commentaires.
Lamont Cunningham dit : J'exprime un sentiment. Pas une demande. Merci.
Kalvin Phelps dit : Et j'ai informé le lieutenant Ingram des faits. Bien, Messieurs.
Orren Bell dit : De la fable, oui.
Kalvin Phelps dit : Messieurs les avocats ...
Roy Burgess dit : Une petite chose avant de commencer, M. Phelps. Si nous sommes là dans le cadre d'une procédure pénale... Je ne vois pas bien l'objet de la présence de l'agent du LSPD derrière.
Kalvin Phelps dit : Il est enquêteur criminel au même titre que moi, sa présence est légale. J'ai appris que vous aviez assuré une transmission d'objets avec une personne détenue.
Orren Bell dit : Nous avons récupéré le téléphone de notre client, oui, qui n'était pas saisi.
Roy Burgess dit : En somme, nous n'avons rien transmis.
Orren Bell dit : Exact.
Kalvin Phelps dit : Je vous demande donc de me laisser finir : Vous avez donc touché à un objet qui peut raisonnablement être constitutif d'une preuve ... Qu'il soit saisi ou non : il conserve sa qualité de preuve ...
Lamont Cunningham dit : Vous m'avez palpé et pas récupéré se téléphone.
Orren Bell dit : S'il l'était, pourquoi ne l'avez-vous pas saisi ?
Kalvin Phelps dit : La saisie n'a rien à voir avec la nature de preuve, relisez votre code. Une expertise est donc en cours afin de déterminer si des opérations, notamment de modification et de délétion. Si l'expertise révèle une telle modification ou délétion ou la laisse soupçonner. Vous serez interpellés. Quoi qu'il en soit nous écrirons au barreau et c'est bien normal. La confiance que nous accordons aux avocats va, normalement, de pair avec un certain professionnalisme.
Roy Burgess dit : Peu importe, nous n'avons pas altéré la preuve. Nous n'avons rien à nous reprocher.
Kalvin Phelps dit : Cela me confirme que nous avons bien fait de menotter Monsieur Cunningham.
Roy Burgess dit : Faites ce que bon vous semble.
Lamont Cunningham dit : Du tout, ça ne change rien. Je suis menotté, mais ils ont quand même pris mon téléphone. Qui de toute façon, ne possède rien à par des numéros.
Edwards Stevens dit : Bonsoir Lieutenant.
Kristina Ingram dit : Bonsoir.
Kalvin Phelps dit : Lieutenant, désirez-vous un verre d'eau ?
Kristina Ingram dit : Non merci, ça ira.
Kalvin Phelps dit : Ces précisions ayant été faites, nous allons pouvoir commencer. Je vous informe tout de suite que les argumentaires fondés sur des considérations comme : "Si elle était là c'est qu'elle en voulait" Ou bien "Elle n’a pas dit non la gourmande" n'auront pas leurs places ici.
Roy Burgess dit : Je suggère que nous restions maîtres du choix de nos argumentaires.
Kalvin Phelps dit : C'est une audition Maître. Pas un procès. Vous n'êtes pas ici pour plaider. Monsieur Cunningham, avez-vous déjà eu recours aux services de prostitué(e)s ?
Lamont Cunningham dit : Oui. Et je n'y vois pas le crime là.
Kalvin Phelps dit : Un crime non, un délit oui. Vous serez d'ailleurs poursuivi pour ce délit.
Lamont Cunningham dit : Vous en avez la preuve ? Non.
Kalvin Phelps dit : Vos aveux pour commencer.
Lamont Cunningham dit : Aucune preuve de transfert d'argent, rien.
Kalvin Phelps dit : Au fait Maîtres, j'ai omis de vous informer que, comme cela a été notifié à votre client : Cette audition constitue un témoignage écrit à destination de la Cour. Un logiciel enregistre et retranscrit tout ce qui se dit dans cette pièce en direct. Il a été notifié de ses droits. Et du fait que tout mensonge constituait un parjure. Ainsi que la Cour l'a déjà jugé s'agissant de témoignages écrits retranscrits automatiquement.
Lamont Cunningham dit : Ce n’est pas un procès. Donc mon aveu ici, ne vaut rien. Passons.
Orren Bell dit : Officier, gardez votre sang froid.
Roy Burgess dit : Naturellement.
Lamont Cunningham dit : Bien sûr.
Kalvin Phelps dit : Monsieur Cunningham, vous disiez donc, sous serment ... Avoir déjà sollicité les services d’une prostituée. Pourriez-vous nous indiquer à quand remontent la dernière sollicitation d'une prostituée ?
Lamont Cunningham dit : Non, c'est ma vie privée. Je ne répondrai pas.
Kalvin Phelps dit : C'est votre droit.
Lamont Cunningham dit : Je le sais.
Kalvin Phelps dit : Remerciez donc vos avocats de leurs précieux conseils.
Lamont Cunningham dit : Venez-en aux faits, s'il vous plait.
Kalvin Phelps dit : Connaissez-vous Madame Phoebe Mitzalis, surnommée "BlackRose" ?
Lamont Cunningham dit : Oui.
Kalvin Phelps dit : Celle-là il peut y répondre. Voilà ! (…) Est-il exact que vous avez rencontré Madame Mitzalis au King Paradize Motel je vous prie ?
Lamont Cunningham dit : En effet.
Kalvin Phelps dit : Dans la nuit du dix au onze, est-ce exact ?
Lamont Cunningham dit : Je ne me souviens plus de la date précise. Mais vous devez la connaitre bien sûr.
Kalvin Phelps dit : Nous sommes le douze.
Lamont Cunningham dit : Vous avez lu les conversations.
Kalvin Phelps dit : Ah ça ... Il y a le secret de l'enquête !
Lamont Cunningham dit : Bien, alors posez pas de questions rhétoriques. Venez-en aux faits.
Kalvin Phelps dit : Sait-on jamais, peut être aurez-vous envie de me mentir.
Lamont Cunningham dit : Non, jamais.
Kalvin Phelps dit : J'imagine donc que toutes vos déclarations concorderont avec les images de vidéosurveillance du domicile privé de l'agent spécial McMillan qui, comme tout domicile privé d'un agent fédéral, dispose de caméras de vidéo protection. Je ne doute pas un seul instant que votre sincérité sera à toute épreuve.
Orren Bell dit : Par domicile privé, vous entendez sa chambre d'hôtel ?
Lamont Cunningham dit : Les chambres d'hôtel sont des lieux publics.
Orren Bell dit : Non, pas tout à fait.
Kalvin Phelps dit : Chambre réquisitionnée et financée par le FBI comme neuf autres chambres de différents établissements dans San Andreas.
Orren Bell dit : Mais c'est pour être parfaitement clair.
Lamont Cunningham dit : Ok.
Orren Bell dit : D'accord, donc l'on parle de sa chambre d'hôtel.
Lamont Cunningham dit : Poursuivez.
Kalvin Phelps dit : Et une chambre constitue un lieu privé au sens du droit mais ... Cette question n'a pas d'importance. Dans la nuit du dix au onze donc avez-vous rencontré "BlackRose" au Motel King Paradize en vue d'une relation sexuelle tarifée ? Plus précisément au premier étage. Monsieur Cunningham ... Vu les éléments que j'ai en ma possession je pourrais vous jeter dans une geôle. Avec un prélèvement ADN et vous laisser en pâture dans l'arène de la Cour.
Lamont Cunningham dit : J'ai le droit de consulter mes avocats. Vous permettez?
Orren Bell dit : Il va permettre.
Kalvin Phelps dit : Je ne suis pas là pour perdre trois heures à chaque question minime.
Lamont Cunningham dit : Oui, je l'ai rejoint dans ses conditions.
Roy Burgess dit : Vous savez très bien qu'aucune question n'est minime...
Kalvin Phelps dit : Donc vous pouvez, mais si cela s’éternise : je vous expédie en cellules. Disons que tout est relatif Maître. Bien. Est-il exact que vous avez alors fait la rencontre fortuite de l'agent Kimberly McMillan dans le couloir devant le domicile de Madame Mitzalis ?
Lamont Cunningham dit : Oui. Devant la chambre C3.
Kalvin Phelps dit : Très bien. Aviez-vous déjà rencontré l'agent McMillan par le passé ?
Lamont Cunningham dit : Non. Du tout.
Kalvin Phelps dit : Aviez-vous déjà rencontré la prostituée "BlackRose" ?
Lamont Cunningham dit : Oui. Mais il y a fort longtemps.
Kalvin Phelps dit : Vous n'entreteniez donc plus, depuis longtemps, aucune relation avec elle ?
Lamont Cunningham dit : Oui.
Kalvin Phelps dit : Très bien. Avez-vous informé, lorsque vous étiez dans le couloir, l'agent spécial McMillan de la nature de votre relation avec Madame Mitzalis ?
Lamont Cunningham dit : Alors, pour votre Gouverne. J'étais d'abord avec madame Mitzalis. En train de discuter devant chez elle, madame McMillan nous a aperçu dans le couloir.
Kalvin Phelps dit : Tout à fait et c'est alors que vous étiez devant son pallier qu'est arrivée l’agent McMillan.
Lamont Cunningham dit : Et est venue discuter avec nous.
Kalvin Phelps dit : Tout à fait. D'où ma question : Au cours de cette discussion avez-vous, oui ou non, informé l'agent McMillan de la nature de votre relation avec BlackRose ?
Lamont Cunningham dit : Laissez-moi finir. L'agent est venu. Phoebe lui a proposé de venir s'amuser entre nous. McMillan m'a demandé si ça me dérangeait. Et je ne voulais pas. Mais elles ont insisté. Et finalement on est allé chez l'agent spéciale McMillan. Et je porte mes accusations. Elle savait pourquoi on irait chez elle.
Kalvin Phelps dit : Pensez-vous que Madame Mitzalis confirmerait cette déclaration ?
Lamont Cunningham dit : OUI. Je n’ai pas eu le choix, et je le vois comme un piège.
Kalvin Phelps dit : Seriez-vous surpris d'apprendre qu'elle nous a livré, sous serment, une version différente ?
Roy Burgess dit : Elle l'a déjà fait via une conservation MyShare.
Lamont Cunningham dit : Elle commet parjure dans ce cas.
Orren Bell dit : Peut-on connaître l'économie générale de ce témoignage ?
Lamont Cunningham dit : Elle a voué via la conversation Sharespace que vous avez lu. Que je n'ai pas violé madame McMillan.
Kalvin Phelps dit : Non Maître, pas tant qu'il n'y aura pas de mise en accusation. Et j'entends profiter des 48 heures qui sont miennes. Je présume donc que nous n'avancerons pas davantage dans cette direction. Vous entrez donc dans l'appartement. La "chambre" si on veut. De l'agent spécial en charge McMillan et y êtes filmé vous rapprochant de Madame Mitzalis. Alors que, selon vous, l'agent McMillan en veut à votre corps ... Et vous a invité chez elle pour un sulfureux plan à trois. Pouvez-vous nous dire où elle se tient pendant les longues premières minutes suivant votre entrée dans la chambre ?
Lamont Cunningham dit : Faux.
Kalvin Phelps dit : En fait c'est une question ouverte ...
Lamont Cunningham dit : Alors vous verrez dans votre vidéo hein. Et vous me laissez finir s'il vous plait. Madame McMillan était sur son lit, Phoebe dansait. Voila. Donc elle était sur son lit McMillan. Phoebe dansait sur moi, sur un autre lit.
Kalvin Phelps dit : Alors que vous et Madame Mitzalis étaient sur ... Voilà. Là vous avez commencé à avoir un rapport sexuel ... En missionnaire si je me souviens bien à ce moment-là de l'extrait.
Lamont Cunningham dit : S'il vous plait. Vous pouvez me laisser finir. Merci des détails.
Roy Burgess dit : Vous avez été très attentifs.
Lamont Cunningham dit : Laissez-moi finir.
Kalvin Phelps dit : Le concept de l'interrogatoire est que, je, pose les questions. Monsieur Cunningham.
Lamont Cunningham dit : Oui mais si je ne peux pas vous expliquer, c'est seulement votre parole.
Kalvin Phelps dit : Je souhaite vous mener à un état des faits sous l'angle du droit, pas à avoir le récit haletant de votre performance
Lamont Cunningham dit : Et j'ai le droit à la parole.
Kalvin Phelps dit : Non. Vous avez le droit au silence. Pas le droit à la parole.
Lamont Cunningham dit : Donc vous ne voulez pas connaitre la vérité.
Roy Burgess dit : M. Cunningham n'est pas comme ça.
Lamont Cunningham dit : Un complot, et je le démontrerai.
Kalvin Phelps dit : Performant ?
Roy Burgess dit : Mais peut-être gagnerions du temps s'il racontait immédiatement sa version. Cela éviterait que le récit soit... égrainé... au fil de vos questions précises.
Orren Bell dit : Oui.
Kalvin Phelps dit : Vous sous-estimez votre client Maître ! Performant il l'a été. Ça, nul ne lui retirera.
Lamont Cunningham dit : Vous estimez votre client ?
Kalvin Phelps dit : Je n'ai pas de client.
Roy Burgess dit : Il n'est pas orgueilleux.
Lamont Cunningham dit : Non, mais c'est ce que vous dites. En gros vous me faites passer pour qui ? Ecoutez, soit vous me laissez donner ma version. Qui est celle des caméras. Soit ça ne sert à rien de parler.
Kalvin Phelps dit : Vous trouvez votre performance médiocre ? Moi je vous ai trouvé plutôt endurant.
Lamont Cunningham dit : Ouais, j'le suis plutôt, merci.
Orren Bell dit : Ces développements me paraissent dilatoires.
Kalvin Phelps dit : Je reprends donc mes questions :
Lamont Cunningham dit : La musculature aussi.
Orren Bell dit : Allons à l'essentiel.
Kalvin Phelps dit : Vous avez alors commencé, arrêtez-moi si je me trompe, à avoir un rapport sexuel avec Phoebe un agent arrive à la porte SUD. La douce et charmante Phoebe. En début de rapport, pourriez-vous nous dire où se trouvait l'agent spécial McMillan ? Ne trouvez-vous pas curieux, voire contradictoire, que ...
Lamont Cunningham dit : Oui. Je l'ai déjà répété, sur le lit. Elle était sur le lit de gauche. Et nous sur celui de droite.
Kalvin Phelps dit : Tout à fait, côté fenêtre.
Lamont Cunningham dit : Voilà. Et après ? Allez-y continuez.
Kalvin Phelps dit : Ne trouvez-vous donc pas curieux et contradictoire ... Que l'invitation venant de l'agent McMillan. Elle ne vous a pas rejoint ?
Lamont Cunningham dit : Si. C'est ce que j'ai dit justement.
Kalvin Phelps dit : Nous partageons le même constat. J'en suis ravi.
Lamont Cunningham dit : J'ai demandé à Phoebe pourquoi elle était sur le lit ? Et l'agent s'est alors joint à nous ! Merci.
Kalvin Phelps dit : Vous êtes-vous directement adressé à l'agent McMillan ?
Lamont Cunningham dit : C'est des détails, il me semble avoir demandé à Mitzalis.
Kalvin Phelps dit : Très bien. Vous disiez ne pas avoir initialement envie de la présence de l'agent McMillan précisant que l'invitation venait d'elle.
Lamont Cunningham dit : Non. Vous ne comprenez rien.
Kalvin Phelps dit : Non, je suis trop idiot pour comprendre.
Lamont Cunningham dit : J'ai clairement dit mais comme vous ne me laissez pas finir... Que l'agent McMillan s'est présenté devant Mitzalis. Mitzalis lui a proposé de venir "baiser." Elle a accepté et m'ont demandé toutes les deux si ça me dérangeait.
Kalvin Phelps dit : Et, gentleman motivé par une foi catholique à toute épreuve, vous avez refusé.
Lamont Cunningham dit : Je n'ai pas répondu pendant quelques minutes, et ils m'ont en, en soit contraint. Néanmoins, j'ai trouvé plaisir.
Kalvin Phelps dit : Bien sûr ! J'allais le dire.
Lamont Cunningham dit : Je devais aller chez Mitzalis de base ! Mais l'agent McMillan a dit d'aller chez elle, car elle savait ce qu'elle allait faire. A SAVOIR, M'ACCUSER DE VIOLE. Voilà, ça ne tiendra pas une seconde devant un juge votre long discours.
Kalvin Phelps dit : J'envisage bien sûr de vous libérer et de vous défendre contre le viol dont vous avez été victime je pense que je vais accélérer
Lamont Cunningham dit : On s'en tient aux faits.
Kalvin Phelps dit : Vous avez donc un rapport sexuel initialement exclusivement avec la prostituée ce qui apparait curieux puisque l'initiative venait plutôt de l'agent McMillan que de vous ... mais curieusement ELLE NE VIENT PAS À VOUS. Pourquoi pas ! Le rapport se déroule les demoiselles vont alors à la salle de bain.
Lamont Cunningham dit : Non.
Roy Burgess dit : Madame McMillan aime sans doute regarder.
Lamont Cunningham dit : Vous aimez les détails non ? Donc on va sortir les détails, c'est très important.
Kalvin Phelps dit : Je me fiche de vos détails qui consistent à vous présenter en victime, je souhaite en venir à la salle de bain. Je comprends votre version.
Lamont Cunningham dit : Non. Les détails sont importants, je suppose que vous avez le son avec vos caméras ? Que dit-elle pendant les rapports ? "Oh ouais tu me baise bien". Excusez-moi, mais c'est la vérité. Vous l'avez entendu. Donc cessez de me faire passer pour un violeur.
Kalvin Phelps dit : Je me fiche pour l'instant de la caméra, je m'en tiens à votre version, à savoir : Vous avez eu un rapport à deux, vous êtes interrogée sur l'absence de venue de l'agent McMillan et l'agent McMillan vous a rejoint ensuite. Le rapport a eu lieu, assez classiquement, à trois.
Lamont Cunningham dit : Oui. En effet.
Kalvin Phelps dit : Là, l'agent McMillan et la prostituée rejoignent la salle de bain. L'agent McMillan va dans le jacuzzi tandis que vous pénétrez la prostitue une nouvelle fois vous l'avais dit qu'il était performant.
Lamont Cunningham dit : Non. J'étais dans le jacuzzi avec McMillan et Phoebe. Vous n’aimez pas les détails hein, mais les détails font tout. J'étais dedans, et elles sont venue se coller à moi toutes les deux. Elles appréciaient. Les deux. Je suis sortie, et Phoebe m'en a redemander.
Kalvin Phelps dit : Elles désiraient votre corps et aucune n'était passive ... C'est évident.
Lamont Cunningham dit : Merci.
Kalvin Phelps dit : Aucune n'était ... Plus froide ou moins réceptive que l'autre. Aucune n'était moins joueuse que l'autre.
Lamont Cunningham dit : Oui oui.
Kalvin Phelps dit : Aucune n'était pas au courant que Phoebe était une prostituée et qu'il s'agissait donc pas d'une rencontre "normale" aucune n'a été surprise de la tournure des évènements. Aucune n'est alors sorti du jacuzzi sous vos injonctions "Viens ! Suce !" Et aucune ne s'est agenouillée devant vous. Pour que vous lui baisiez la bouche violemment jusqu'à la faire vomir. Je me trompe ?
Lamont Cunningham dit : Ce ne sont pas des injonctions. Elle l'a fait, je ne l'ai aucune obligé. Lors de rapports sexuels, cela peut arriver. Oui, et ça arrive même souvent. Elle était consentante, point.
Orren Bell dit : Du sexe violent n'est pas un viol.
Kalvin Phelps dit : Surtout avec un étalon comme vous !
Lamont Cunningham dit : Violent ?
Roy Burgess dit : Encore moins en l'absence de toute contrainte...
Lamont Cunningham dit : REGARDEZ VOS CAMERAS.
Kalvin Phelps dit : C'est votre avocat qui l'a dit, pas moi.
Lamont Cunningham dit : Que dit-elle ?
Kalvin Phelps dit : La contrainte Maître ! J'y viens ! Mon moment préféré. Car jusqu'ici j'avais plutôt l'impression d'un scénario rude mais reposant disons sur un quiproquo et une attitude trop passive et réservée de mon agente.
Lamont Cunningham dit : Avant ça j'aimerai que monsieur Phelps puisse nous partager l'enregistrement où McMillan jouit. Que dit-elle ?
Kalvin Phelps dit : Mais la suite est croustillante !
Orren Bell dit : Agent qui a reçu un entraînement d'élite, rappelons-le. Et qui doit savoir gérer des situations difficiles et s'imposer quand il le faut.
Roy Burgess dit : Et qui était armée.
Kalvin Phelps dit : Judiciaire essentiellement. L'agent McMillan est agent administratif.
Lamont Cunningham dit : Merci messieurs.
Kalvin Phelps dit : Et elle était nue. Officier Cunningham, est-il exact qu'après avoir vomi, l'agent spécial a regagné son lit précipitamment ?
Lamont Cunningham dit : Quand on est même analyste, on est armé. Je ne savais pas que c'était un agent du FBI. Aucune idée, j'étais trop préoccupé voyez-vous.
Kalvin Phelps dit : Ça on s'en est douté à votre tête lorsqu'on est venu. N'avez-vous pas été surpris que la femme à qui vous avez dit "Viens ! Suce ... !" et à qui vous avez baisé la bouche violemment parte si précipitamment ? Ne vous êtes-vous pas dit "mince, peut-être n'était-elle pas entièrement désireuse de vivre cette expérience" ?
Lamont Cunningham dit : Mais écoutez.
Kalvin Phelps dit : C'est oui ou non ... C'est une question fermée.
Lamont Cunningham dit : Le soucis ce n’est pas de me demander ce que je pense.
Roy Burgess dit : La vie amoureuse est souvent pleine de regrets.
Kalvin Phelps dit : Soit vous avez eu cette pensée ...
Lamont Cunningham dit : Merci Maitre Burgess. Les femmes sont dures à comprendre. Et je parle à tous les niveaux. Que ça soit sentimentalement parlant, ou seulement pour du plaisir. On ne peut se recueillir sur une attitude.
Kalvin Phelps dit : Vos avocats vous feront un cours sur les termes à employer et à ne pas employer devant la Cour. Histoire de vous éviter la peine maximale.
Lamont Cunningham dit : Cela reste infondés.
Kalvin Phelps dit : JE POURSUIS ! L'agent McMillan a alors rejoint son lit ...
Lamont Cunningham dit : Ouais, j'suis pas avocat mais officier de police.
Kalvin Phelps dit : Et un putain de bon coup, ce qui fait ma transition ! Vous avez profité de votre incroyable capacité de performance pour jouer un troisième round avec Madame Mitzalis dans le lit de droite. Suite à l'épisode salle de bain j'entends. Est-ce exact ?
Lamont Cunningham dit : C'est exact.
Kalvin Phelps dit : Là pour le coup c'est une question qui ne vous incrimine en rien ... Profitez-en : il y en a peu ! Voilà !
Lamont Cunningham dit : Oui oui.
Kalvin Phelps dit : C'est alors que vous vous étonnez, si je ne me trompe pas, de ne pas voir venir l'agent spécial McMillan. Vous vous en étonnez auprès de Madame Mitzalis. Est-ce exact ?
Lamont Cunningham dit : Je n’ai pas compris.
Orren Bell dit : Pouvez-vous reformuler votre de question de sorte à ce que notre client la comprenne mieux ?
Kalvin Phelps dit : Vous avez dit en somme : Quelque chose comme "elle ne vient pas ?" à Phoebe. En parlant de Kimberly. Est-ce exact ? Vous vous en êtes étonné.
Lamont Cunningham dit : Mais vous m'parlez de quand ?
Kalvin Phelps dit : Après la salle de bain.
Lamont Cunningham dit : Je ne sais pas.
Kalvin Phelps dit : Quand vous preniez Madame Mitzalis sur son lit. Cela arrive et c'est un point de détail dans l'Histoire. Donc qu’importe : Question suivante. Suite à cette ... Disons le surprenant constat du fait que l'agent spécial McMillan ne vous rejoignait pas au lit vous avez décidé, vous et Madame Mitzalis, de venir jouer avec l'agent spécial McMillan, est-ce exact ?
Orren Bell dit : Constat que notre client ne se souvient ni avoir fait, ni avoir exprimé à son amante.
Lamont Cunningham dit : Faites constats de ce que vous voulez Agent Phelps, McMillan était consentante.
Roy Burgess dit : Aussi j'imagine que Madame Mitzalis est également aux arrêts ? Pour complicité de viol ? Non ? C'est bien CURIEUX.
Lamont Cunningham dit : Je vais vous expliquer ce qu'il y a. Et sachez qu'en mes compétences d'officier-enquêteur. Je tâcherai de savoir pourquoi Mitzalis s'est retourné.
Kalvin Phelps dit : Madame Mitzalis est là où elle doit être et je ne pense pas que vous ayez visité nos geôles. Allez y officier, enseignez-moi mon métier !
Lamont Cunningham dit : Car sur MyShare elle dit que je ne l'ai pas violé. Son jugement sera remis en doute devant une cours. Et ça j'en suis CERTAIN.
Kalvin Phelps dit : Madame Mitzalis est en effet persuadée de vos bons sentiments, elle nous l'a dit.
Lamont Cunningham dit : Le chantage n'entre pas dans le cadre légal de notre métier Agent Phelps.
Kalvin Phelps dit : Le chantage ?
Lamont Cunningham dit : Oui, vous savez où je veux en venir. Mais là n'est pas le souci. On verra lors du procès. Mes suspicions seront fondées.
Kalvin Phelps dit : Sans doute. Rejoignez-vous, avec Madame Mitzalis, le lit de l'agent spécial McMillan ?
Lamont Cunningham dit : J'sais pas si c'est son lit moi. Y'en a deux. J'vais sur celui qui me semble le plus confortable.
Kalvin Phelps dit : Je reformule : Vous avez pratiqué une irrumation (une face fuck si vous préférez) sur l'agent McMillan. Elle part, elle vomit et va à son lit. Vous continuez de pénétrer Madame Mitzalis. Puis vous retournez dans la partie "chambre". Là vous avez à nouveau un rapport avec Madame Mitzalis, dans l'autre lit, le lit vide. Puis, vous rejoignez l'agent McMillan dans le lit qu'elle occupe, est-ce exact ?
Lamont Cunningham dit : Possible. Oui. Ce n’est pas un nouveau, c'est toujours le même. Je ne suis pas une bête sexuelle hein. Oui c'est exact.
Kalvin Phelps dit : Je ne doute pas que la Cour sera sensible à votre performance. Vous avez fait le choix de venir sur le lit de l'agent. Pourriez-vous donc nous dire quelle était son attitude à ce moment ? Vous avez dû l'observer et sentir en elle le désir pour venir jouer avec elle, non ?
Lamont Cunningham dit : Et alors ? Elle a fait le choix de m'inviter dans son appartement pour avoir des rapports.
Kalvin Phelps dit : Vous pourrez donc me la décrire.
Lamont Cunningham dit : A ce moment-là, elle était sur son, lit, sur le ventre.
Kalvin Phelps dit : Je vous en prie, développez
Orren Bell dit : Il faut sentir le regard lubrique d'une femme se poser sur soi pour comprendre. C'est un sentiment impossible à restituer avec des mots.
Lamont Cunningham dit : Et regardait moi et Mitzalis avoir un rapport. J'ai détourné mon attention vers elle, puis elle m'a regardé avec des yeux de feux. J'ai senti le désir, et je l'ai rejoint.
Roy Burgess dit : Apparemment, à aucun moment elle n'a exprimé son souhait de ne pas poursuivre le rapport. M. Cunningham n'est pas Patrick Jane.
Kalvin Phelps dit : Ses yeux de feu ... Vous les avez donc vu ?
Lamont Cunningham dit : Je les ai vu. Oui.
Orren Bell dit : Il a vu ses prunelles brûler de désir.
Lamont Cunningham dit : Je n’aurais pas dit mieux !
Kalvin Phelps dit : Outre son regard a-t-elle eu des mots ou des gestes désireux et avides de votre sexe turgescent et de vos muscles saillants ?
Lamont Cunningham dit : Oui.
Kalvin Phelps dit : Décrivez-nous donc les mots et gestes qu'elle a eu à ce moment-là je vous prie.
Lamont Cunningham dit : Elle a crié "au viole" comme je l'ai expliqué à mes avocats. Et je me suis donc directement retiré. J'ai été voir Mitzalis. Et je lui ai demandé si elle était vraiment sérieuse. Mitzalis semblait être amusée par la situation.
Kalvin Phelps dit : Pardon, nous nous sommes mal compris. Avant de la rejoindre dans son lit. Donc avant qu'elle n'hurle au viol. Vous dites qu'elle vous a regardé avec un œil lubrique et désireux. Ma question est : Outre ce regard de feu que vous avez vu a-t-elle eu des gestes, une attitude ou des mots vous incitant à venir lui remettre ce qu'après tout elle méritait ?
Lamont Cunningham dit : Je ne sais pas. Je ne m'en souviens plus.
Kalvin Phelps dit : Comment ça vous ne savez pas ? Ah. Bien. Ce peut-il que vous ne vous en souveniez pas tout simplement car elle n'a eu ni attitude ni regards provocants ? Se peut-il qu'elle ait quitté la salle de bain en larmes après avoir vomi.
Lamont Cunningham dit : Je n’ai pas la mémoire d’une caméra planquée dans un appartement dans le but de piéger des officiers de police.
Kalvin Phelps dit : Pour se réfugier dans votre lit ...
Orren Bell dit : Ni comportement laissant présager son refus d'une relation sexuelle. Mon client ne sonde ni les cœurs, ni les reins.
Lamont Cunningham dit : Elle avait un regard provoquant.
Orren Bell dit : Elle n'a eu aucun comportement raisonnablement assimilable à un rejet. Or, elle travaille pour vous. Elle sait et doit savoir s'imposer.
Lamont Cunningham dit : Si quand elle a crié au viol. Je me suis retiré !
Roy Burgess dit : Elle venait d'avoir une relation pour le moins... passionnée avec M. Cunningham ne laisser penser, en l'absence de tout...
Kalvin Phelps dit : C'est une audition. Et non un procès. Merci Maîtres.
Roy Burgess dit : Comportement ou parole allant dans ce sens, qu'elle n'était pas consentante.
Kalvin Phelps dit : Je reprends donc : Vous voyez donc son regard de feu ... Et venez commencer à la pénétrer ...
Lamont Cunningham dit : Pourquoi n'a-t-elle pas utilisé son arme de service ? C'est tout ce que j'ai à dire. C'est vous qui posez les questions ? Oui mais j'ai le droit de me défendre. Pour la satisfaire j'entends bien.
Kalvin Phelps dit : Pouvez-vous me décrire ce que fait Madame Mitzalis à ce moment ?
Lamont Cunningham dit : Oui, je n'ai jamais eu l'intention de violer qui que ce soit. Elle l'embrasse ou bien, elle lui fait des attouchements. Je ne m'en souviens plus vraiment.
Kalvin Phelps dit : Hm, vous ne vous en souvenez plus. Avez-vous senti votre victime se débattre ?
Lamont Cunningham dit : Ma victime ? Pardon ?
Kalvin Phelps dit : L'agent spécial McMillan.
Lamont Cunningham dit : C'est une audition, aucun jugement ne doit être fait.
Orren Bell dit : En effet.
Lamont Cunningham dit : Merci.
Kalvin Phelps dit : Je peux juger autant que je veux.
Lamont Cunningham dit : Non.
Orren Bell dit : Mais pas l'exprimer.
Kalvin Phelps dit : J'ai même le droit de vous dire qu'à mes yeux vous êtes un monstre et que j'aimerais vivre en Iran pour vous voir violé par un manche à balais en retour. C'est mon droit constitutionnel.
Orren Bell dit : C'est élégant.
Kalvin Phelps dit : Merci Maître.
Lamont Cunningham dit : C'est très bien. Cela ne tournera pas à votre avantage.
Roy Burgess dit : Cela montrera à la Cour, si elle pouvait encore en douter, que cette audition est entièrement à charge
Lamont Cunningham dit : Car je prouverai certaines choses. Et que j'ai été piégé. Par la même occasion.
Kalvin Phelps dit : En tant qu'enquêteur je n'ai aucune obligation de neutralité.
Orren Bell dit : Vous êtes substitut du Procureur.
Lamont Cunningham dit : Le respect s'impose.
Kalvin Phelps dit : En aucun cas Maître Bell. Je peux, si je le désire, exercer les prérogatives d'un substitut. Mais je ne le suis pas et, actuellement, je n'exerce pas cette prérogative.
Orren Bell dit : Encore cette discussion... Vous en avez les prérogatives, donc les devoirs.
Lamont Cunningham dit : Vous n'êtes pas juge, et vous n'avez pas à me juger délibérément avant un jugement. C'est clair.
Kalvin Phelps dit : Je suis un simple enquêteur de police.
Lamont Cunningham dit : Donc je vais vous demander de me respecter. Sinon je ne répondrais à aucune de vos questions.
Roy Burgess dit : Par ailleurs, il semble que votre agent a piégé M. Cunningham... Votre posture renforce cette idée.
Kalvin Phelps dit : Je poursuis : Avez-vous senti l'agent McMillan se débattre ?
Lamont Cunningham dit : Je vous ai dit quoi ? Je vous ai dit qu'elle a crié au viol et que je me suis retiré. Elle n'en avait plus envie. Et je n'ai pas refusé son droit.
Kalvin Phelps dit : A-t-elle, avant cela, manifesté le moindre signe de ... Non envie ?
Lamont Cunningham dit : Je ne suis pas psychologue ou voyant pour lire dans les pensées. On est à trois dans une chambre, pour faire l'amour, point.
Kalvin Phelps dit : Bien sûr, je reformule : Avez-vous perçu, avant qu'elle ne hurle au viol, perçu un signe de refus ? Des larmes par exemple ? ...
Lamont Cunningham dit : Non.
Roy Burgess dit : Les larmes sont une réaction physique à la... fellation.
Lamont Cunningham dit : Tout laisser à penser qu'elle était encore consentante.
Roy Burgess dit : Elles ne démontrent pas l'état d'esprit de votre agent.
Kalvin Phelps dit : En l'occurrence c'était une pénétration vaginale. Avez-vous perçu des sanglots ?
Lamont Cunningham dit : Oui, et elle mouiller énormément.
Orren Bell dit : Notre client est bien membré.
Lamont Cunningham dit : Ça j'peux vous l'dire.
Roy Burgess dit : Il y a une fellation assez profonde antérieurement, apparemment.
Lamont Cunningham dit : Et Mitzalis aussi.
Kalvin Phelps dit : Hm ... Bien sûr, pleine de désir.
Lamont Cunningham dit : Elle relâchait énormément de cyprine, ce qui atteste du plaisir qu'elle a su trouver en moi. Ça peut également lui provoquer des larmes si vous l'voulez.
Kalvin Phelps dit : Donc pour synthétiser. Et là reprenez-moi si je me trompe hein ! Vous avez eu à ce moment avec elle un rapport non violent, durant lequel Madame Mitzalis faisait quelque chose sans que vous ne vous souveniez de quoi précisément. Vous l'avez pénétré, elle ne pleurait pas, ne sanglotait pas, ne vous disait pas d'arrêter. Ne résistait pas.
Lamont Cunningham dit : Elle a crié au viol. Je me suis retiré. Point.
Kalvin Phelps dit : J'y viens. Ne m'interrompez pas. Elle ne résistait donc pas ...
Lamont Cunningham dit : Je ne répondrais pas à vos allégations sans fondements.
Kalvin Phelps dit : Tout ce que j'ai dit jusqu'ici reprend simplement vos déclarations ...
Lamont Cunningham dit : Le fait de crier au viol est une forme de résistance. Donc si.
Kalvin Phelps dit : Vous venez de me dire que, jusqu'à ce qu'elle crie au viol : tout était normal. Donc vous m'avez menti ? Avouez-vous avoir commis un parjure ?
Orren Bell dit : Vos interruptions incessantes n'aident pas à la clarté des idées.
Kalvin Phelps dit : Maître ? Pouvez-vous dire à votre hystérique client de ne plus se contre dire et de me laisser finir mes phrases. Merci.
Lamont Cunningham dit : Comprenez-vous quand je parle ?
Kalvin Phelps dit : Je reprends.
Roy Burgess dit : Vous pourriez également observer vos bons conseils, M. Phelps. Cela faciliterait l'échange.
Kalvin Phelps dit : Vous avez donc eu à ce moment un rapport non violent ...
Lamont Cunningham dit : Vous n'acceptez pas de me laisser m'expliquer.
Kalvin Phelps dit : Madame Mitz ... Silence. Vraiment. JE pose la question ... Et lorsque j'ai fini : VOUS répondez. C'est dans cet ordre.
Lamont Cunningham dit : Mes explications vous donneront la marche à suivre.
Orren Bell dit : Laissez-le donc répondre.
Roy Burgess dit : Hélas, vous n'avez jamais fini.
Kalvin Phelps dit : Si vous me coupez encore, je vous fais un procès.
Lamont Cunningham dit : Vous m'harcelez donc.
Kalvin Phelps dit : Je n'ai pas fini ma question.
Lamont Cunningham dit : J'écoute.
Kalvin Phelps dit : Vous avez donc eu à ce moment un rapport non violent. Madame Mitzalis était là, avec l'agent et vous sur le lit, sans que vous ne sachiez dire ce qu'elle faisait, vous êtes venu car l'agent semblait manifestement bruler de cette envie en vous lançant un regard, je cite, "de feu". Vous êtes venu la pénétrer dans ce contexte, elle ne se débattait pas, ne demandait pas que cela cesse et ne pleurait pas, vous avez donc poursuivi la pénétration, jusqu'à ce que soudainement, elle hurle "au viol". Vous avez alors retiré votre sexe de son corps et êtes parti avec Madame Mitzalis. L'intonation de ma phrase révèle ... Que j'ai fini. Je constate que vous progressez dans l'art de la politesse.
Roy Burgess dit : Je suggère que vous laissiez maintenant M. Cunningham vous répondre.
Orren Bell dit : Souvent femme varie, bien fol qui s'y fie.
Lamont Cunningham dit : Je vous ai laissé parler donc j'attends la même chose de vous. Alors je commence.
Roy Burgess dit : Sans le couper.
Kalvin Phelps dit : Et vous laisse donc, comme cela est de convenance, me répondre.
Lamont Cunningham dit : Vous savez mieux que moi ce que Madame Mitzalis faisait, vous avez regardé l'enregistrement. Je ne peux me souvenir de tout. Je ne suis encore pas la mémoire de la caméra étant planquée dans l'appartement de votre agent dans le but de me piéger. Ensuite. Je vous rappelle, et c'est prouver que des rapports dit "d'intense" peuvent amener une femme à pleurer de plaisir. Néanmoins, je n'ai perçu aucune larme. Et j'ai tout bonnement arrêté une fois qu'elle ait crié au viol.
Kalvin Phelps dit : Peut-être pas si performant que cela *petit sourire en coin en regardant Orren*
Lamont Cunningham dit : Donc ne me demandez pas si elle a pleuré ou non. Je ne sais pas. Ou du moins, je ne m'en souviens pas.
Kalvin Phelps dit : Pour que ce soit dit ... Très clairement :
Lamont Cunningham dit : Je traite énormément de demande par jours. Sans parler de mes affaires hors service. Plus de mes dossiers d'enquêtes. Sans parler de la mascarade qui se passe en interne du département. Donc j'ai le cerveau assez prit ses temps-ci. Voyez-vous ?
Kalvin Phelps dit : à titre purement informatif Inspecteur. Le mis en cause ne cesse de nous parler de complots ... De machination ... orchestrée par un officier le haïssant et œuvrant avec le FBI contre lui ... Avez-vous, en tant que cadre du LSPD, la moindre information à ce sujet ?
Edwards Stevens dit : Complot qui vous a valu de devoir vous faire escorter hors du bureau du Chef Eisenhower, de par votre "parasitage".
Kalvin Phelps dit : Ah ?
Lamont Cunningham dit : Stop.
Kalvin Phelps dit : Ah il y a vraiment des conflits internes au LSPD ? Amusant.
Lamont Cunningham dit : Les affaires du LSPD restent au LSPD.
Kalvin Phelps dit : En tout cas que ce soit clair ...
Lamont Cunningham dit : Monsieur Stevens, n'oubliez pas que vous êtes soumis à un secret professionnel.
Edwards Stevens dit : J'ai été convié, je suis libre de dire ce que je veux concernant le LSPD, je suis mandaté par le Bureau du Chef.
Lamont Cunningham dit : Et que toute divulgation de nos précédentes discussions pourront vous être sanctionnée.
Kalvin Phelps dit : Alors Monsieur Cunningham je suis enquêteur fédéral. Si je veux fouiller tout le poste ... Et les interroger un par un sur vous. Je peux.
Edwards Stevens dit : Oui et votre état nous préoccupe, tout autant que le FBI.
Lamont Cunningham dit : Allez-y.
Kalvin Phelps dit : D'ailleurs continuez de menacer implicitement l'agent Stevens et je vous assure que je le ferais.
Lamont Cunningham dit : Ça ne rentre pas dans le cadre de notre affaire.
Kalvin Phelps dit : Si vous pensez pouvoir intimider un enquêteur, pour dissimuler des informations.
Lamont Cunningham dit : Je n'intimide personne.
Orren Bell dit : Allons, allons.
Edwards Stevens dit : L'Officier Cunningham semble vraisemblablement mal digérer la perte des élections au poste de présidence du syndicat, menant une croisade contre l'Officier Maslova, au point de s'en plaindre au Chef. En dehors du fait que l'Officier Cunningham soit actuellement sous le joug d’une enquête de ma division.
Kalvin Phelps dit : Je vous le dis tout net : ça va finir en nouvelle mise en accusation.
Lamont Cunningham dit : Seulement les affaires que je mène au LSPD n'ont rien à voir avec celle-là.
Kalvin Phelps dit : Mon Dieu !
Lamont Cunningham dit : Monsieur Cunningham se réserve le droit de créer son syndicat qui va œuvrer pour les officiers du département. Et qui ne va pas diviser et semer la terreur.
Kalvin Phelps dit : Et vous pensez que le Bureau a le moindre goût de vos petites et insignifiantes querelles syndicales locales ? Vous pensez vraiment que le Bureau ... Le Département de la Justice du Gouvernement fédéral des Etats-Unis d'Amérique ... Comploterait avec un syndicat d'une petite police locale ...
Orren Bell dit : L'officier exprime mal son sentiment.
Lamont Cunningham dit : Voilà qui est monsieur Cunningham, un officier intègre qui œuvre pour le bien des autres. Je n'ai jamais dit ça.
Roy Burgess dit : Pas le FBI. Seulement votre agent.
Kalvin Phelps dit : Pour monter un complot de viol ...
Lamont Cunningham dit : Non.
Roy Burgess dit : À titre personnel et individuel.
Lamont Cunningham dit : Juste McMillan.
Kalvin Phelps dit : Pour information nous avons fouillé les relations de l'agent McMillan.
Lamont Cunningham dit : Je n'ai jamais parlé d'un officier du LSPD.
Roy Burgess dit : Ah oui ?
Kalvin Phelps dit : Initialement elle ne pouvait pas témoigner, traumatisée. Nous n'avons rien trouvé de suspicieux.
Roy Burgess dit : Elle avait l'air VRAIMENT traumatisée. Au travail 48 heures après les faits.
Kalvin Phelps dit : Elle est hospitalisée ...
Lamont Cunningham dit : Non. Elle était là.
Kalvin Phelps dit : J'ignore de qui vous parlez. Ah si. Si si. (…) Combien avez-vous rémunéré Madame Mitzalis ?
Lamont Cunningham dit : Comme dans les messages Sharespace que vous avez lu, 4.000$.
Kalvin Phelps dit : Monsieur Cunningham ...
Lamont Cunningham dit : Agent Phelps ?
Kalvin Phelps dit : Vous m'avez dit pas avoir senti de signe de résistance de Madame McMillan.
Lamont Cunningham dit : Non. Je n’ai pas dit ça.
Kalvin Phelps dit : Mise à part son "Au viol". Pardon.
Lamont Cunningham dit : J'ai dit qu'il était difficile de savoir ce qu'elle pensait. Et que oui, en criant au viole son signe de résistance a été affirmé. S'il vous plait écoutez-moi.
Kalvin Phelps dit : Mais vous avez continué, jusqu'au "au viol", à la pénétrer ... Donc vous pensiez jusqu’à ce moment-là que tout était normal. Non ?
Lamont Cunningham dit : Mais c'est ce que j'dis oui. Mais écoutez deux secondes. Vous pensez vraiment que devant un juge, l'intention de me nuire n'était pas présente ? Pourquoi être aller chez McMillan si on était devant chez Mitzalis. Et que la rencontre était initialement prévue chez Mitzalis. Et sans McMillan. Allez faire avaler à un juge que c'est pure coïncidence.
Kalvin Phelps dit : Je vais venir à vos observations complémentaires par après.
Lamont Cunningham dit : L'intention de me nuire, ou de divulguer des vidéos compromettantes sur moi. Et clairement là.
Kalvin Phelps dit : Ah, un agent du FBI vous a menacé de diffuser des vidéos compromettantes sur vous ? Je suis choqué de l'apprendre. Mais puisque c'est une déclaration sous serment : je vous crois. Souhaitez-vous me dénoncer l'auteur de ce comportement ?
Lamont Cunningham dit : Je n’ai pas dit ça, encore une fois. J'ai dit qu'en m'y emmenant chez elle, en sachant que son appartement est équipé de dispositif d'enregistrement. Elle savait que la scène allait être filmée. Donc elle aurait pu bien utiliser les bandes vidéo à des fins personnelles. Ou même pour m'inculper, ce qui reviendrait donc à un complot, oui. Le complot est sans doute là, le fait de m'avoir convaincu de la laisser se joindre à la partie. Dans le seul but de provoquer un soi-disant viol. Pensez aux conséquences. Détruire ma vie ?
Edwards Stevens dit : Complot, complot, complot.
Lamont Cunningham dit : C'est donc pour cela que vous optez ?
Kalvin Phelps dit : Manque de bol ... Appartement du FBI, caméras du FBI. Bien tenté.
Lamont Cunningham dit : Détruire ma vie car un agent ayant eu des relations sexuelles consentit se plait de viol par la suite ? Non.
Kalvin Phelps dit : Et donc, parce que vous estimez qu'elle AURAIT PU vouloirs organiser un complot mondial contre vous qu'il n'existe pas de preuve formelle qu'elle n'a pas tout manigancé tout cela est mensonge ?
Lamont Cunningham dit : Elle savait déjà ce qu'elle allait faire. Avant d'entrer dans l'appartement. Et j'en suis persuadé. Et c'est cela qui ne tiendra pas devant un juge.
Kalvin Phelps dit : Bien ... Et bien vous plaiderez ça devant la Cour. Si nous faisons un examen clinique sur vous ...
Lamont Cunningham dit : Elle savait très bien que ses supérieurs allaient visionner les caméras de surveillances.
Kalvin Phelps dit : Trouverons-nous sur vous des traces de résistance ? Je vous prie.
Lamont Cunningham dit : Elle n'a donc aucune pudeur ? Non. On m'a juste frappé le torse. Et griffé. Mais c'est Mitzalis qui m'a fait ça. Vérifiez ses ongles, vous verrez.
Kalvin Phelps dit : Hm bien sûr ... Seriez-vous surpris que nous découvrions, sous les ongles de l'agent McMillan ... Des résidus de votre peau ?
Lamont Cunningham dit : Y'aura rien.
Kalvin Phelps dit : Sans doute déposés là par complot… Qui un franc-maçon ... Qui un Illuminati ...
Lamont Cunningham dit : Vous avez un sens de l'humour hors norme. Je me fonds la poire. Elle ne m'a pas griffé.
Kalvin Phelps dit : Alors les rapports seront sans doute négatifs.
Lamont Cunningham dit : Et si elle l'a fait, c'est premiers actes. Ça ne prouvera rien.
Kalvin Phelps dit : Ah ?!
Lamont Cunningham dit : Ça ne prouve rien.
Kalvin Phelps crie : Virez de bord *levant la voix comme s’il parlait à un homme d'équipage au loin*
Lamont Cunningham dit : Mitzalis m'a griffé et mis des gifles. C'était plutôt rude comme relation.
Kalvin Phelps dit : Un dossier entier qui s'effondre.
Roy Burgess dit : C'est cela.
Kalvin Phelps dit : Seriez-vous surpris que les analyses des literies révèlent une quantité IMPORTANTE de sécrétion lacrymale séchée et que cette analyse ayant été faite très rapidement après votre départ, filmé par caméras
Lamont Cunningham dit : Comme je l'ai dit, si vous n'étiez pas de mauvaise foi, vous sauriez quoi faire.
Edwards Stevens dit : On devrait envoyer la retranscription à une boite de production pornographique, ça relève de Spielberg.
Lamont Cunningham dit : Elle a énormément mouillé oui.
Kalvin Phelps dit : Sécrétion LACRYMALE ... Des larmes. La lacrymogène ... Les larmes ... Sécrétions lacrymales.
Lamont Cunningham dit : Je n’ai pas bien entendu pardon
Kalvin Phelps dit : Nous avons donc pu estimer -approximativement- qu'elle avait pleuré pendant au moins plusieurs minutes
Lamont Cunningham dit : Dans ce cas-là. Les secrétions de cyprine. Attesteront du fait qu'elle a pris plaisir. Puis ! Laissez-moi finir. Le fait qu'elle ait pu pleurer ne prouve rien, beaucoup de femme pleure suite à un rapport intense. C'est l'essence même d'un plaisir savoureux. Ce qui veut dire, en d’autres termes. Que votre agent à aimer.
Kalvin Phelps dit : Exactement. Elles griffent ... Elles hurlent ... Elles répètent plusieurs fois "arrête", "Stop", "pitié" ... Elles vomissent.
Lamont Cunningham dit : On va cesser cette mascarade. Foutez-moi aux arrêtes. Et basta, vous ne comprenez pas. Vous êtes entêté d'avoir raison ? Mais vous avez tort.
Kalvin Phelps dit : Vous l'êtes déjà.
Orren Bell dit : Allons, officier.
Lamont Cunningham dit : Je n'accepte pas le fait qu'on me fasse passer pour un violeur. Autre chose, mais jamais ça.
Roy Burgess dit : En effet. Je crains que audition menée entièrement à charge ne nous mène nul part. Nous devrions nous arrêter là.
Lamont Cunningham dit : En effet.
Kalvin Phelps dit : Avant que nous ne nous quittions ... Maîtres.
Lamont Cunningham dit : Demandez à Mitzalis si elle m'a griffé, et pourquoi.
Roy Burgess dit : Oui ?
Lamont Cunningham dit : Et vous connaitrez la réponse.
Kalvin Phelps dit : Elle nous a déjà répondu Monsieur Cunningham
Lamont Cunningham dit : Elle a répondu quoi ?
Kalvin Phelps dit : Maîtres donc, mes excuses. Auriez-vous une minute à m'accorder une fois Monsieur Cunningham en cellule ?
Roy Burgess dit : Bien sûr.
Kalvin Phelps dit : Merveilleux. Monsieur Cunningham. Vous avez ... Difficilement parfois, répondu à mes questions. Celles-ci se concluant, je dois vous poser une question : Souhaitez-vous tenir des déclarations libres ou bien ajouter aux, modifier ou retirer les propos que vous avez tenu. Et c'est MAINTENANT qu'il peut parler librement pour que l'action ne soit pas à charge.
Lamont Cunningham dit : Mon but n'est pas de vous rendre la tâche difficile, mais vous donner ma version. Tout ce que je vous ai dit est purement vérité. Et donc oui, pour moi elle était consentante vous l’avez-vous même dit. Cependant, arrivé à la fin, son état aurait surement changé. Et je n'ai aucune envie de violer n'importe quelle femme.
Kalvin Phelps dit : Bien ... Est-ce tout ?
Lamont Cunningham dit : Oui.
Kalvin Phelps dit : Merci à vous. Maîtres, une observation peut être ?
Orren Bell dit : Que Dieu nous garde.
Kalvin Phelps dit : Amen.FIN D’ENREGISTREMENT 13/05/2020 01 :34 - BUREAU DE L’AGENT SPECIAL EN CHARGE KALVIN PHELPS
- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
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Re: Viol d'un AS
Jeu 14 Mai - 6:14
SAN ANDREAS FBI FIELD OFFICE
FADETTES: Lamont Cunningham
Nous, soussigné,
Kalvin Cole Phelps
Agent spécial en charge
San Andreas field office
Bureau fédéral d'investigation
Département de la Justice
Dispositif | Faisons usage, pour la présente investigation, des factures détaillées des lignes téléphoniques de Lamont Cunningham. Sur l'aspect technique, que la facture détaillée est le document généré et conservé par l'opérateur téléphonique qui recense l'ensemble des communications émises ou reçues au moyen d'une ligne téléphonique et qui, pour chacune d'elles, indique : l'expéditeur, le destinataire, l'heure et la date d'envoi, l'heure et la date de réception, la durée d'appel le cas échéant (appel), le volume de données échangées le cas échéant (MMS/GPS/DATA), la longueur du message le cas échéant (SMS), le coût de l'opération pour le client et les bornes téléphoniques initiales et finales utilisées pour transmettre la communication depuis le téléphone émetteur jusqu'au réseau et du réseau jusqu'au téléphone destinataire. Sur le cadre légal, rappelons que les opérateurs téléphoniques remettent au FBI ces métadonnées au FBI sur mandat régulièrement délivré par la cour supérieure de l’État de San Andreas. |
Exploitation | Recevons de notre branche technique et scientifique lesdites métadonnées et les joignons au présent dossier :
|
Interprétation | Interprétons ces informations comme suit: le téléphone du mis en cause bornait sur Pershing-Square, lieu des faits, au moment de leur commission. |
- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
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Re: Viol d'un AS
Jeu 14 Mai - 6:35
CONFIDENTIEL - DÉPARTEMENT DE LA JUSTICE - BUREAU FÉDÉRAL D'INVESTIGATION - SAN ANDREAS FIELD OFFICE - CONFIDENTIEL
ENQUÊTE c. LAMONT CUNNINGHAM
-
Procédure disciplinaire
ENQUÊTE c. LAMONT CUNNINGHAM
-
Procédure disciplinaire
Précisons que le LSPD nous informe que Lamont Cunningham est mis à pied à titre provisoire.
Remettons en conséquences les effets du LSPD saisis sur lui au Département de police de la ville de Los Santos.
Précisons que nous faisons acquérir pour lui des vêtements à sa place afin qu'il puisse être vêtu lors de sa libération.
CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL - CONFIDENTIEL
- Kalvin PhelpsDirecteur d'antenne
- Messages : 825
Re: Viol d'un AS
Jeu 14 Mai - 9:57
PUBLICATION DE L'INVESTIGATION
Nous, soussigné,
Kalvin Cole Phelps
Agent spécial en charge
San Andreas field office
Bureau fédéral d'investigation
Département de la Justice
Vu l'article 239-4. du code pénal,
Vu l'article 2. du code de procédure pénale,
Ordonnons la déclassification et la publication de la présente enquête.
Nous, soussigné,
Kalvin Cole Phelps
Agent spécial en charge
San Andreas field office
Bureau fédéral d'investigation
Département de la Justice
Vu l'article 239-4. du code pénal,
Vu l'article 2. du code de procédure pénale,
Ordonnons la déclassification et la publication de la présente enquête.
La version publiée est anonymisée.
La version à destination de la Justice et des parties n'est pas anonymisée
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